Les limites planétaire et la théorie du donut appliquée à une collectivité

Depuis mars 2025, le F3E propose une communauté de pratiques sur l’écologie, liée au pouvoir d’agir, afin de travailler avec ses membres et leurs partenaires sur l’écologie dans des domaines qui les concernent.
Il s’agit de partager des outils de sensibilisation, d’opérationnalisation et de transversalisation de l’écologie dans les actions, mais aussi des expériences de membres ou de personnes extérieures (collectivités, chercheurs ou chercheuses, associations, coopératives…) qui ont mis en place des systèmes pour mesurer leur impact, le limiter, ou même avoir un effet positif en matière d’écologie.
La prochaine session de cette communauté de pratique aura lieu le jeudi 19 juin, de 10h à 13h (GMT+2). Lors de cette session, nous explorerons les limites planétaires et la mise en application de la théorie du donut développée par l’économiste Kate Raworth.
Organisation de la séance
Nathalie Lemeur, chargée de projet Donut à la ville de Grenoble nous présentera les concepts de limites planétaires et de planchers sociaux, puis nous exposera comment la ville de Grenoble a mis en œuvre la théorie du donut dans ses politiques publiques.
Après cet exemple très concret, les participant-e-s seront amené-e-s à réfléchir aux éléments qui sont transposables dans les actions de solidarité, en France comme à l’international. Nous travaillerons ensemble pour en tirer des idées à développer dans nos organisations.
Informations pratiques et inscriptions
Vous ne connaissez pas les limites planétaires et la théorie du donut ? Vous êtes à la recherche d’outils pour penser vos actions de manière écologique tout en renforçant le pouvoir d’agir des personnes concernées ? inscrivez-vous sans attendre !
Cette communauté de pratiques est destinée aux membres et à leurs partenaires, et aux praticiennes et praticiens des solidarités. Il se tiendra en distanciel, et uniquement et en français.
À propos de la théorie du donut
Dans sa théorie du Donut (2017), Kate Raworth propose que l’économie du XXIème siècle soit une économie distributive et régénérative dont l’objectif premier est de prospérer dignement collectivement plutôt que croître indéfiniment aux dépens du vivant et des ressources finies de la planète.
Pour aller plus loin
Consultez Écologie et pouvoir d’agir, un recueil de neuf articles écrit par un ensemble d’acteurs et actrices de la solidarité et coopération internationale sur le sujet.
Date
- de 10:00 à 13:00
Adresse
Distanciel